Les marchés financiers et les tendances à jouer sont très changeants dans le domaine de la Bourse. Afin de déterminer la tendance en vigueur, des spécialistes font le point chaque semaine. Malgré une baisse perçue au début de l’année, les indicateurs économiques révèlent une croissance réelle des Etats-Unis tandis que celle de l’Europe continentale est plus modérée.
Par ailleurs, la croissance perceptible dans la zone euro est asymétrique quoique leur analyse démontre une déviation orientée vers une meilleure cohérence.
Une tendance médiocre
Par rapport au 31 décembre 2013, les Bourses européennes perdent 3%, Wall Street 5% et Tokyo 13%. Par conséquent, les marchés émergents ont du mal à se stabiliser dans le même temps. Face à ces données déconcertantes, les investisseurs décident de réaffirmer leur annonce sur la poursuite de la réduction des injections de liquidité par la Réserve Fédérale.
Une démarche qui qualifie la confiance dans la force du cycle américain, mais qui marque aussi un « égoïsme » du pays. De même pour le débat du plafond de la dette fédérale qui semble approuver cette démarche.
Les facteurs à prendre en compte
De son côté, la Banque centrale Européenne qui doit faire face aux risques persistants de déflation n’a pas encore renoncé à ses différends juridiques avec la Cour constitutionnelle allemande de Karlsruhe.
Or, la régression est assez importante, soit, équivaut à 1.6% des ventes au détail en décembre. Il suffit de bien marquer les axes d’investissement afin de réaliser une bonne gestion de portefeuilles. Pour cela, la croissance américaine et l’amélioration européenne serviront de points d’appui. Ainsi, une spéculation sur le Japon et sur certaines zones émergentes avoisinantes sera envisageable. Parmi les valeurs introduites en Bourse, les actions japonaises représentent de vraies opportunités non-négligeables.