Les maladies orphelines vont faire la fortune des instituts pharmaceutiques

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Alors que ces maladies étaient le plus souvent oubliées, les plus grands instituts pharmaceutiques ont récemment fait des investissements record dans la recherche de nouveaux remèdes. Si leurs découvertes pourraient servir un grand nombre de patients, l’intérêt est surtout de s’enrichir.

Peu de malades donc des traitements chers

maladie rare france

Les caractéristiques de ses maladies orphelines résident dans le fait que pour chacune d’entre elles un pourcentage infime de la population est concerné. La polyarthrite rhumatoïde qui prend de l’ampleur chaque année ne concerne pourtant qu’1% de la population mondiale. Dans ces conditions, les traitements sont délivrés à un prix exorbitant. C’est justement ce qui intéresse ces différents laboratoires.

Les traitements pour un seul patient s’élèvent donc entre 100 000 et 400 000 euros chaque année. Autant dire que si un remède est prescrit une centaine de fois, ce sont plusieurs milliards de dollars qui vont être engrangés par les instituts pharmaceutiques. Pour eux, il s’agit d’une promesse de gains substantiels pour le futur, ce qui est une réelle motivation.

Des maladies visées en priorité

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Parmi les maladies qui ont retenu l’attention des instituts pharmaceutiques qui ont récemment investi dans la recherche, la mucoviscidose arrive en tête, suivie de la maladie de Crohn, la sclérose en plaques et polyarthrite rhumatoïde.

Correspondant toutes à des maladies génétiques, soit présentes  dans un chromosome ou se déclarant de façon auto-immune via l’attaque de son propre contre lui-même, des solutions médicales sont activement recherchées.

maladie rareSi les personnes atteintes peuvent se féliciter de pouvoir trouver des traitements de plus en plus performants dans le futur, ils ne sont pas tous logés à la même enseigne. En France, la sécurité sociale prend en charge ce type de traitement.

Par contre, aux Etats-Unis, il faudra avoir souscrit une assurance qui couvre un grand nombre de problématiques. Pour le laboratoire, que la facture soit payée par un état ou un particulier n’a que peu d’importance puisque le but est avant tout de s’enrichir. Une santé à deux vitesses va alors s’installer entre ceux qui peuvent se soigner et les autres.

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