Investissement dans des terres agricoles

La recherche de constitution d’un patrimoine foncier voit se développer des investissements alternatifs dont les atouts sont conséquents. Ainsi, l’investissement dans les terres agricoles permet d’avoir confiance en une valeur sûre dont les prix sont attractifs.

De plus, le rendement des récoltes et la possibilité de voir la valeur de sa terre augmenter avec les années fait de ce produit de placement un nouveau produit en plein développement.

Types de terrains concernés

Les terres agricoles les plus prisées sont celles dont les récoltes et donc le rendement sont importants. Les agricultures de blé, colza et maïs sont donc principalement choisies compte tenu de leurs récoltes à la fois quantitative et qualitative.

Hormis ces qualités indéniables, l’investissement dans des voies céréalières représentent un investissement sur l’avenir avec l’augmentation de la population mondiale et donc proportionnellement de la demande alimentaire à laquelle ces terres seront capables de répondre ce qui constitue un atout essentiel.

La vigne fait également partie des terres agricoles envisagées lors d’investissements. Les revenus liés à son exploitation sont importantes car les vins produits notamment ceux de cépages reconnus permettant un gain important au propriétaire du domaine. Certains vins connaissent une forte demande extérieure.

Les spécificités du placement

Les terres agricoles sont les plus vendues entre exploitants, agriculteurs ou professionnels du marché et plus rarement aux particuliers. Cet investissement rapporte 2 à 3% de rendement et comporte très peu de risques. De plus, il permet de bénéficier d’avantages fiscaux conséquents notamment pour les personnes concernées par l’ISF ou qui payent beaucoup d’impôts.

L’intéressé peut acheter des parcelles de terres agricoles ou de vignobles à partir d’un prix à l’hectare fixé par le vendeur. L’acheteur peut alors aussi bien s’adresser à un agriculteur qu’à un groupement foncier agricole ou viticole qui dispose de nombreux terrains destinés à ce type de placement.

Au niveau fiscalité, une personne redevable de l’ISF peut voir cet impôt annulé si celle-ci exploite elle-même sa terre agricole ou de vignes. Si l’exploitation est confiée à un professionnel, le propriétaire bénéficie néanmoins d’un abattement entre 50 % et 75 % selon la valeur du bien.

Pour les impôts sur le revenu, le calcul est autre car il dépend de l’usage fait de son bien. En effet, en cas de location, ceux-ci sont considérés comme revenus fonciers et les gains directement issus des récoltes sont pris en compte dans la catégorie revenus agricoles. De plus, les éventuels déficits agricoles subis sont pris en compte pour définir le taux d’imposition.

Facebooktwitterlinkedinmail